A l’occasion de la cĂ©lĂ©bration de NoĂ«l, les Archives diocĂ©saines mettent en ligne deux lettres extraites de la correspondance de Monseigneur Guillibert, symbolisant les voeux de paix et de prospĂ©ritĂ© auxquelles l’humanitĂ© aspire tout particulièrement en cette pĂ©riode. La première lettre est celle d’un enfant priant Notre-Seigneur de lui accorder le retour de son père retenu au front. Nous sommes alors, d’après l’enveloppe adressĂ©e « o petit JĂ©sus qui et au ciel » (sic) Ă FrĂ©jus en dĂ©cembre 1916. La seconde, non datĂ©e mais probablement de la mĂŞme Ă©poque, vient d’un enfant plus âgĂ©, et travaillant semble-t-il comme apprenti menuisier ou charpentier. Il espère obtenir du Fils de saint Joseph, par le truchement de l’arbre de NoĂ«l de la maitrise dont il est membre, le rabot qui lui manque Ă l’atelier.


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